Jacqueline

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  • Jacqueline
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      Jésus est vraiment Ressuscité et il est vainqueur du mal.
      Parfois, nous traversons des événements où le combat spirituel est présent. Satan se manifeste sous l’aspect d’un ange de lumière et entre par la porte de notre cœur sans que nous nous en apercevions et c’est la solitude, la peur, l’angoisse. Nous nous sentons coupés de Dieu, des autres, de nous-même. Dans ces moments, demeurons vigilants et gardons ce cœur à cœur avec Jésus dans l’Oraison. La lumière se fait, la paix revient et surtout la joie.
      En ces derniers jours de ce temps pascal, comme nous invite le Père Marie-Joseph dans son homélie de ce dimanche, n’ayons pas peur de dire cette prière « Jésus, tu as disparu à mes yeux, mais tu es là au fond de mon cœur ; je sais que tu es là, que tu es ressuscité, que tu es vainqueur de tout mal. Je te rejoins maintenant dans un cœur à cœur… Aide-moi, comme tu l’as fait avec le disciple bien-aimé, qui s’est penché sur ton cœur. Donne-moi le regard de la foi, l’espérance et l’amour ! »

      Jacqueline
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        Durant ces jours vécus au Monastère de Géronde, mon oraison s’est faite plus intense et m’a fait entrer dans le silence de tout mon être dans l’écoute de l’Esprit Saint. Joie de découvrir toujours plus profondément combien Jésus nous aime jusqu’à livrer sa vie jusqu’au bout de l’amour pour le salut de tous les hommes qui l’accueillent comme leur Sauveur ! Il a ouvert mon cœur au don du service, dans une profonde joie. L’oraison est un chemin de guérison intérieure, pour sortir de soi et se donner à l’autre de diverses manières que nous montre l’Esprit-Saint. Expérience de paix, de joie, de désir de vivre dans le silence habité. Vie qui se reçoit et se donne.

        Jacqueline
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          Ce soir durant le temps d’Oraison, l’Esprit Saint m’a fait comprendre un peu plus que ce cœur à cœur avec Jésus transforme ma vie. Expérience d’être enveloppée d’un Amour si fort, comme plongée dans mon baptême. J’étais dans une paix et une joie qui m’ont été données, accueillies tout simplement. Ce qui ne veut pas dire que la souffrance a disparue. Mais c’est fort de vivre une profonde paix et joie au cœur de la souffrance. Mon cœur habité par l’amour a eu une répercussion sur une personne avec qui j’avais des difficultés de relation, qui a eu un geste d’amour gratuit.
          Ce beau temps de l’Avent est un temps de grâce, de conversion, pour se laisser conduire par l’Esprit avec Marie, pour accueillir Celui qui désire vivre une nouvelle naissance chaque jour et spécialement le jour de Noël.

          Jacqueline
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            Oui, merci Marie-Joseph, avant de voir ton message, je voulais répondre à Jean-Luc un peu dans le même sens. Prendre du temps dans l’oraison, ce cœur à cœur avec Jésus en se laissant conduire par l’Esprit est primordial pour assumer notre vie chrétienne, notre vie qui tend à la sainteté, à ne désirer que vivre selon la volonté du Père. Et comme le dit Paul-Henri, l’accompagnement est nécessaire pour nous guider dans le discernement sur ce chemin.
            L’oraison est une puissance qui nous garde dans l’espérance malgré nos faiblesses, nos chutes, parce que Jésus a donné sa vie pour nous sauver. Il est Ressuscité, vainqueur de tout le mal. N’ayons pas peur. La Miséricorde de notre Père du Ciel est infinie et sans limite. Il nous le montre dans la parabole de l’enfant prodigue.

            Jacqueline
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              Marie-Joseph, merci pour ta réponse à Jean-Luc. C’est l’expérience que j’ai faite ce soir pendant l’oraison. Je me suis laissée habiter par Celui qui m’aime d’un amour fou, malgré mes faiblesses, ma détresse parfois. Ce soir, j’ai vraiment fait l’expérience que lorsque j’ouvre la porte de mon cœur dans la confiance, pour accueillir l’œuvre de l’Esprit qui me met dans ce cœur à cœur avec Jésus et le Père, je ne pense plus à moi mais à celui qui me sanctifie, me guérit, m’élève à son niveau et fait des merveilles et nos cœurs ne font plus qu’un dans un échange d’amour mutuel. Oui, j’ai tout à recevoir, à accueillir et accepter de recevoir, de me laisser modeler.

              Jacqueline
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                Durant mon oraison en ce 2 juillet, accompagnée par l’Esprit Saint, je suis entrée assez rapidement dans ce château intérieur de mon être, avec toute ma souffrance. Jésus m’a invitée à lui donner ma vie avec tous ses combats.
                Après ce don de ma vie telle qu’elle est, Jésus m’a redit combien il m’aimait d’un amour fou, sans condition. Que j’avais du prix à ses yeux ; qu’il avait livré sa vie par amour pour moi. Ma souffrance n’est pas vaine, elle a du prix, unie à la sienne. Jésus m’a fait comprendre que je n’étais pas seule, qu’il la vivait en moi et avec moi.
                Je suis entrée dans une plus grande paix et un silence profond, bienfaisant, ne faisant qu’un seul cœur avec Jésus et Marie, ma maman du Ciel. Leur amour m’enveloppait et m’ont introduit dans un repos bienfaisant en leur présence, dans le cœur du Père de miséricorde et de tendresse. J’ai eu du mal à sortir de ce temps d’oraison dans lequel j’étais bien.
                Merci Jésus, merci Marie ma maman du Ciel !

                Jacqueline
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                  Mon oraison avec le texte de Saint Paul aux Éphésiens 1,3-2,6 m’a introduite, après un moment de silence et de repos intérieur, dans la bénédiction de Dieu qui est aux cieux et présent sur la terre par son Esprit. L’Esprit qui m’a remise au cœur de mon être, là où se trouve le Trésor de la présence du Christ ressuscité. Il m’a montré combien ma vie a été bénie depuis ma naissance jusqu’à ce jour.
                  Que ce soit dans les moments de joies, mais surtout dans de grandes épreuves qui ont marqué tout mon être et ont laissé des cicatrices. Dans ce regard, Jésus m’a fait comprendre que ces cicatrices étaient comme les marques des clous dans sa chair de Ressuscité. J’étais associée, à sa suite, à son œuvre de Rédemption. J’ai vécu un moment de souffrance mais surtout d’espérance, de force intérieure et surtout de louange et d’action de grâce pour le don de ma vie et le travail de l’Esprit durant ces 76 ans que je fêtais le lendemain.
                  “C’est en Jésus que j’ai été mise à part, désignée, marquée du sceau, d’une onction, de l’Esprit-Saint, pour réaliser le plan de Dieu sur ma vie, pour la louange du Père.

                  Jacqueline
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                    Pendant mon oraison, Sainte Thérèse m’invitait à contempler les vastes espaces du Château intérieur. Le début a été un combat. Je me sentais confinée dans des événements douloureux. J’ai demandé à l’Esprit Saint de me guider et une porte s’est ouverte sur le château intérieur de mon âme, tout éclairé. Au centre se trouvait un Trésor : la présence du Christ ressuscité, que rien ne pouvait altérer. Il était tout lumineux et m’envahissait de sa paix, de sa tendresse. Sa Présence me disait : “Ne crains pas, je demeure au cœur de ta vie, de ton âme”.
                    J’ai senti, à ce moment là, que mon être s’élargissait dans une grande liberté pour accueillir tous ceux et celles qui l’habitent et qu’Il me donne à aimer. Il y avait aussi les anges, la Vierge Marie, mon ange gardien, les saints. Je suis entrée dans un temps de louange et d’action de grâce, en communion avec les membres du groupe d’Oraison.
                    Merci Jésus !

                    Jacqueline
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                      Durant mon oraison, je me suis d’abord laissée habiter par une profonde action de grâce pour ce don de la communion spirituelle à l’eucharistie, qui m’est offerte pour m’amener sur une étape nouvelle en ce temps de confinement. Jésus m’a montré qu’il est venu sur terre pour me sauver, qu’il s’est livré dans son corps de chair et en versant son sang pour moi, pour chaque personne que le Père lui a confié.
                      Il se donne à moi pour que je ne fasse plus qu’un avec Lui dans sa communion à la volonté du Père.
                      Son corps et son sang sont ceux de Jésus Vivant Ressuscité.
                      Chaque communion m’ajuste à la volonté du Père, elle me guérit, me transforme, me donne le courage de me laisser transformer, de laisser couler le sang de Jésus dans mes veines pour que ma vie devienne de plus en plus sa Vie. Comme le dit saint Paul : “Ce n’est plus moi qui vis, mais Jésus qui vit en moi”.
                      Jésus s’est donné totalement sans condition et jamais il ne reprendra son don, malgré mes faiblesses, mes infidélités.
                      Jésus m’a montré que, parfois, j’ai à me laisser émonder pour le rejoindre et le laisser me ressusciter, me laisser ajuster à ce qu’Il désire faire de moi : revenir sans cesse à la source de sa Vie donnée, qui seule peut combler ma vie et le laisser habiter mes fragilités pour en faire une puissance de vie.
                      Merci Jésus pour ce moment de cœur à cœur avec toi.
                      En communion avec vous tous.

                      Jacqueline
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                        En ce jour de la fête de la Divine Miséricorde, ma journée est offerte spécialement en communion avec tous les prisonniers, afin qu’ils découvrent l’immense miséricorde de Notre Père du Ciel et de Jésus qui a donné sa vie par amour pour eux. Que chacun/e découvre qu’il est son enfant, qu’il désire être restauré dans sa dignité de fils et filles de Dieu. En ce jour, le Père désire leur remettre l’anneau de l’Alliance au doigt avec le sceau de son Amour.

                        Jacqueline
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                          J’ai beaucoup apprécié l’enseignement qui m’a mise en Oraison [voir École d’oraison du 30 mars].
                          Depuis quelques semaines, je vivais des événements douloureux qui me mettaient dans un état de dépression. À travers ce temps de confinement me remontaient des blessures de mon enfance, m’empêchant de voir ce qui est beau dans la nature et autour de moi.
                          Ce soir dans l’Oraison, en invoquant l’Esprit et lui demandant de me conduire durant ce temps de cœur à cœur avec la Trinité, il m’a conduit dans le jardin d’Éden : tout était beau, les animaux se promenaient, des papillons volaient, les oiseaux chantaient et le ciel était d’un bleu limpide couvert d’étoiles : je me suis surprise entrain de louer, de chanter intérieurement. De plus, dans ce jardin, il y avait vous tous du groupe d’Oraison de ce soir que je ne connais pas, mais vous étiez présents, avec Marie au milieu de nous et je vous trouvais tous très beaux, merveilleux, reflet de la bonté, de la tendresse et de l’Amour de notre Créateur. Ce fut un moment très fort de communion les uns avec les autres. J’ai retrouvé la joie et une onction d’Amour. Le Père m’a redit : “Jacqueline, tu es ma fille bien-aimée en qui j’ai mis tout mon amour, tu es précieuse à mes yeux et tous ceux et celles avec qui tu as vécu ce moment de communion avec moi, sont aussi précieux et ont une valeur inestimable à mes yeux”.
                          Merci, Père, pour ce moment de communion avec toi et avec des frères et sœurs, durant lequel tu as inondé mon âme de paix, de joie, de contemplation dans la louange. Merci à Pascal pour ton témoignage qui me touche aussi beaucoup.

                          Jacqueline
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                            Dans mon oraison d’aujourd’hui, j’étais en communion avec toutes ces familles en deuil à cause de ce coronavirus. J’étais habitée par leur tristesse et la mienne. En communion avec les personnes qui souffrent de l’isolement, spécialement ma sœur qui n’a pas la foi et se révolte. Mon oraison a été une prière d’offrande. J’ai demandé au Père de tendresse et de compassion de se faire proche de toutes ces personnes qui souffrent et de toute l’humanité. Oraison de désert

                            Jacqueline
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                              J’ai repris la Parole d’évangile de ce jour : l’Annonciation de l’Ange à Marie, dans un temps d’Oraison en fin d’après midi.L’accueil de Marie à la parole de l’Ange. L’ouverture de son cœur fait que la première Incarnation du Fils de Dieu peut naître dans son cœur. Elle est tellement transparente de Celui qu’elle porte en elle, qu’elle suscite la louange chez Élisabeth. Jean-Baptiste tressaille dans le sein d’Élisabeth et il est rempli de l’Esprit Saint. Marie transmet la Vie et l’onction de son Fils qui est Dieu. J’ai senti que, comme Marie, je suis ce tabernacle sacré de Celui qui m’habite : Jésus. Avec l’aide de Marie qui me tient toujours par la main et qui m’éduque, j’ai senti un appel à être avec elle ce tabernacle qui laisse transparaître Celui qui l’habite. Grâce que je demande à l’Esprit Saint, car je sens que ce n’est pas mon œuvre mais simplement mon abandon et ma confiance en la Parole qui m’est donnée, que je peux vivre à la suite de Marie, dans cette transparence, pour laisser Jésus se donner à travers ma vie bien fragile par mes propres forces. Elle est celle qui me soutient dans les moments d’épreuves et me console.
                              Merci Marie de m’accompagner ainsi que tous ceux et celles que tu mets sur mon chemin.

                              Jacqueline
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                                J’aime contempler Marie et spécialement en ce jour de l’Annonciation et durant toute sa vie. Son oui est inconditionnel pour accueillir l’œuvre de l’Esprit en elle et devenir la Mère de Dieu, la Mère de Jésus notre sauveur et notre Mère. Elle fait confiance dans la foi pure. Ne désirant qu’accomplir la volonté du Père sur elle et sur l’humanité qui en a tant besoin en cette étape de confinement, d’incertitude, d’angoisses… J’aime la prendre par la main pour me laisser guider par elle. Elle m’apprend à demeurer humble, petite servante. Marie ne se complaît pas dans cette faveur qui lui est faite, mais elle demeure donnée, ouverte pour partir chez sa cousine Élisabeth et toujours tournée vers la Volonté du Père, jusqu’à accepter de devenir notre maman, qui nous conduit vers son Fils qui est venu nous sauver.
                                Merci, Marie, pour celle que tu es pour tous les enfants du Père.
                                Merci de nous soutenir dans les moments d’épreuves, d’être notre consolatrice,Tu es toujours avec nous, depuis notre naissance jusqu’à ce jour où tu nous accueilleras dans notre demeure éternelle auprès de ton Fils et de notre Père qui nous aime d’un amour inconditionnel.

                                Jacqueline
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                                  J’ai reçu ce magnifique texte qui rejoint notre communauté des groupes d’oraison :

                                  L’absence de messe de semaine est aussi l’occasion de découvrir ou de renouer avec l’oraison, cette prière silencieuse durant laquelle on s’unit à Dieu en posant des actes de foi, d’amour, de charité (« J’ai foi en toi mon Dieu, je t’aime, j’espère en tes promesses… »). La vénérable Marthe Robin, une grande figure du siècle dernier, jugeait cette pratique quotidienne plus profitable encore que la messe de semaine. A la question : « Que vaut-il mieux faire : l’oraison ou la sainte communion ? », elle répondait : « Les deux sont vivement à conseiller. Mais s’il faut porter une préférence, je crois que je répondrais l’oraison, car l’oraison est une disposition et une préparation immédiate à la sainte communion. La communion fréquente est un conseil, l’oraison est un divin précepte : “Priez, priez sans cesse”, dit Jésus. Or il est difficile de bien prier et de prier sans cesse si le cœur ne se remplit pas de bonnes, de saintes pensées, fruits de la méditation… Quelqu’un a dit : on trouve des chrétiens qui communient tous les jours et qui sont en état de péché mortel. Mais on ne trouve jamais une âme qui fasse « oraison » tous les jours et qui demeure dans le péché » (noté par elle 4 avril 1930, Prier 15 jours avec Marthe Robin, Éd. nouvelle cité, p.44).

                                  Ce temps de carême exceptionnel, m’invite à me retirer dans un lieu de silence pour être en oraison et en communion avec vous tous et toutes.

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